Actualités des Forêts Tropicales

Sommaire

• Éditorial

• Travaux de l’OIBT : nouveaux financement annoncés par les donateurs

   par le Secrétariat de l'OIBT
  Le Conseil international des bois tropicaux a également discuté des politiques et du portefeuille de projets de l’Organisation, et adopté une série de décisions.

• En Afrique, des projets de l’OIBT source d’avantages durables

   par J. Blaser et O. Ahimin
  Une évaluation de projets de l’OIBT menés à terme en Afrique de l’Ouest et centrale a mis en évidence leurs retombées favorables pour les forêts, leur gestion et les moyens d’existence ainsi que de précieux enseignements pour les initiatives ultérieures.

• Réglementation de l’UE sur la déforestation importée : les limites d’une approche indifférenciée

   par A. Karsenty
  S’il n’est pas modifié, le projet de réglementation visant à interdire les produits contaminés par la déforestation pourrait injustement pénaliser les pays les moins développés.

• Protéger les forêts et leur valeur contre les incendies au Pérou

   par M. Sobral
  Un projet financé par l’OIBT a sensibilisé à la valeur des forêts et à l’importance de prévenir les incendies et d’avoir la capacité d’y répondre.

• 4e Conférence mondiale sur le teck : Matériel de plantation et réservoirs génétiques sujets de vive préoccupation

   par P. K. Thulasidas, Y. Trisurat, H. O. Ma et T. Yanuariadi
  Durant la rencontre organisée au Ghana, on a débattu de questions capitales pour la durabilité de la filière mondiale du teck de haute valeur.

• Tendances du marché

   par Hoang Lien Son et Ngo Sy Hoai
  Les chiffres montrent que la filière vietnamienne du bois et des produits dérivés devient moins tributaire des importations originaires de pays qui pourraient avoir des difficultés à satisfaire aux exigences de vérification de la légalité du bois.

• Quoi de neuf sous les tropiques ?

   par K. Sato
  Clarification
  Dans cette rubrique de TFU 31-3/4, nous avons omis de mentionner les espèces d’arbres tropicaux nouvellement inscrites à l’annexe II de la CITES lors de la 19e Conférence des Parties à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (COP19 de la CITES). Lors de cette COP19, qui a eu lieu en novembre dernier, les Parties ont en effet ajouté plus de 150 espèces d’arbres à l’annexe II dans le but d’assurer que leur commerce ne soit pas préjudiciable à leur pérennité en milieu naturel. Y figurent l’ensemble des genres ipé (Handroanthus, Roseodendron et Tabebuia spp.) et cumaru (Dipteryx spp.) d’Amérique du Sud ainsi que trois genres africains (Afzelia, Khaya et Pterocarpus spp.). Les ébènes Malagasy (Diospyros spp.) et le bois du Brésil (Paubrasilia echinate), qui sont mentionnés dans ce numéro, ont été inscrits à l’annexe II de la CITES lors de COP antérieures. Les discussions sur ces essences à la COP19 ont été axées sur l’application des dispositions relatives à leur inscription qui sont en vigueur. Conformément à la période normalisée de 90 jours après l’adoption d’une proposition d’inscription, les nouvelles inscriptions des espèces africaines sont d’ores et déjà en vigueur ; les inscriptions des espèces sud-américaines entreront quant à elles en vigueur à la fin de 2024 suite à l’approbation, lors de la COP19, d’un appel des principaux États de leur aire de répartition à bénéficier d’une période plus longue pour préparer leur mise en œuvre.

• Parutions récentes

   par K. Sato

• Réunions